Ah, ces maisons d'édition, quelle indécence !

... et même pas honte !

Vous connaissez le principe de "mise au pilon" pour un livre ? C'est quand un livre, après plusieurs années, ne se vend plus très bien et que l'éditeur décide de détruire les exemplaires restants (c'est un droit qui a dû être inscrit dans le contrat) après avoir prévenu l'auteur.

C'est ce qui est arrivé à notre ami, Philippe (oui, oui, le même qui me laisse - souvent avec humour - presque chaque matin un commentaire sur le blog).

Sa maison d'édition a décidé de détruire ses deux romans "Dans un grand champ de nuages blancs" et "Sous le champ de nuages blancs".

Une procédure que je connaissais mais là où j'étais ignorante, c'est que l'éditeur peut proposer à l'auteur d'en racheter une partie ou l'entièreté à un tarif préférentiel. Vous n'êtes peut-être pas choqué mais moi si car pour des livres qui allaient être détruits et donc, avec lesquels, l'éditeur perdrait de l'argent, en les revendant même à 50%, il est loin d'être perdant, croyez-moi !

Je vous invite à aller lire l'article sur le blog de Philippe où il explique tout ça et éventuellement à lui laissser un commentaire si vous êtes intéressé. Moi, j'ai commandé un exemplaire de chaque car le sujet m'intéresse et je suis très curieuse de voir comme Philippe l'a abordé.

Les critiques sur Babelio sont excellentes. Pour les lire, cliquez sur les couvertures ci-dessous.